Il n'y a qu'un souffle entre vos lèvres et les miennes..

Ce matin, au réveil, Lily se sentait légère. Après quelques balles retournées, ces amis l'avertirent d'un colocataire convenable..Faisant ces emplètes, celui-ci apparu.
"- Bonjour.
- Ah.Bonjour, c'est vous le colocataire.
- C'est exact.
- et ben, je ne sais quoi vous dire....
Blablabla...
Lily le revoit, pleurant au téléphone.
Il l'a voit, se lève et s'en va.
Quelques heures plus tard.A l'heure du coucher.Ils ont dû partager les même draps.
- Elle m'a quittée.
Lily se retourne vers lui, qui a les yeux mouillés, le teint blafard et la voix rauque.
- Je suis désolé...
- Suis-je lassant?
- Je ne vous connais pas assez mais non!
Il se retourne.Elle lui baisa l'épaule. Il frissona.
Puis, ils s'endormirent.
Lily ouvra les yeux.Une lettre fut déposé sur le coussin d'à-côté. Elle tendit le bras pour l'attraper...

"Je suis désolée pour ce début de rencontre si désastreux.Pouvez-vous me rejoindre cet après-midi à la rue du regret vers 15h.Si vos ne trouvez pas, appelez-moi au 06.74.36.12.55 .

Elrich."

En tout cas, ce qui était sûr, c'est qu'il se prénommait Elrich, [à prononcée Elrick]...
Il n'était que 8h30 lorsqu'elle reçu tous ses mots. Elle prit une douche et s'informa par le journal quotidien; qu'elle reçevait tout les matins en buvant un café serré.
Tout cela est étrange quand même, vous même, lecteur, vous ne trouvez pas louche qu'une personne pleure...IL devait bien y avoir une faille quelque part. Peut-être que Lily allait bientôt savoir la véritée. Toute la véritée.

15h vient de sonné à son portable. Lily avait dormie. Les émotions l'avaient tellment émus qu'elle était partie courir. La sonnerie retentit.
"Vite, vite...J'vais être en retard", pensa t-elle alors qu'elle enfilait un jean.
Dans une petite ruelle, elle vit un homme assis sur une marche,scrutant son poignet gauche.Les cheveaux d'un blong clair, il avait l'air d'avoir froid et stressé. Rappelons-nous que nous sommes le 17 Janvier 2004.

" Coucou
- Ah. Vous êtes venue, sa me fais plaisir vous savez.
- Oui, c'est-à-dire que je n'aime pas ...Enfin, pourquoi avez-vous pleuré hier soir..
Lily referma sa veste d'un geste lent.Le sourire forcé et les pomettes rouges.
- Oh, c'est indiscrèt..Je ne voulais...
- Non...
Il lui coupa la parole.
- De toute façon, vous le saurez bien un jour...
- Ah! Pourquoi dites-vous ça?
- Parce- qu'on va devoir co-habiter ensemble un certain temps et qu'il va bien falloir que vous en sachiez un peu plus sur moi!
- Oui, c'est vrai.
Ils s'échangèrent un sourire. Leur premier.
Lily regardait autour d'elle. La ruelle se faisait vide et sombre.
- vous ne voulez pas qu'on continue au chaud?

- Oui. C'est vrai. Ils s'échangèrent un sourire. Leur premier. Lily regardait autour d'elle. La ruelle se faisait vide et sombre. - Vous ne voulez pas qu'on continue de discuter tranquillement au chaud? - Oui, je suis idiot de vous avoir fais amener ici. Elrich eut un sourire forcé. Ses yeux montrait la culpabilité d'avoir emmené Lily dans un tel endroit.Mais, elle était d'une nature simple; alors elle prit cela avec humour. - Rassurez-vous, si nous aurions dû rester, je pense que je serai aller me blottir dans vos bras. Ils continuèrent de marcher, puis revinrent à l'appartement. Pendant que Lily préparait du thé, Elrich s'installa dans le canapé; Une question le dérangeait, alors il tenta, avec hésitation tout de même. C'est un homme plutôt réservé. - Vous seriez vraiment venu dans mes bras? Lily déposa les tasses sur la table basse. - Et vous, m'auriez vous accepter? Elrich caressa ses cuisses, les mains moites. - Je ne sais pas! Oh l'esquive! Lily lui sourit, narquoisement. Elle ne voulait pas le gêner. Elle avais déjà déceler sa nature, depuis le premier soir. - Alors, vous travaillez dans quoi? Vous avez quel âge? Dites-moi tout ! Et, d'un geste rapide, elle se posa en taileur devant Elrich. Qui racla sa gorge, une tasse à la main. - En faite, vous avez dû remarquer mon prénom étrange. Je suis franco-norvégien, si on peut dire comme sa ... Ils sourirent. - Je suis né à Oslo, j'y ai vécu toute mon enfance mais ma mère nous a toujours appris la culture française. Il attendit un peu puis reprit. - J'ai 28 ans et je suis caméraman et mon meilleure ami est réalisateur...C'est pour cela, je vous avertis où il y aura des mois, vous ne me verrez pas. Et vous? A votre tour. Il lui sourit. - Et, bien...J'ai 26 ans et je fais des petits boulots. Là, je suis dans une usine agroalimentaire pour un contrat de 2 ans mais je ne me plais pas. Sa pourrai être bien pire! Un grand silence s'abattit dans la pièce. Elrich lui sourit. Elle en fit de même. Aïe. Ses mains se raidirent. Etait-elle amoureuse? Lily se leva et vida le lave-vaiselle. Il était 18h00. - Vous voulez que je vous aide? - Non, merci sa vaaller - Oh...Attendez... Il courra en direction de la chambre. Lily avait laissé échapper un "quoi?" en se retournant, une pile d'assiette dans les mains. - Tenez, c'est pour vous. Et, Elrich lui tendit un paquet enrobé de papier cadeau. Lily déposa ses asiettes encombrantes et s'installa à la table de la cuisine. Elle regarda Elrich. Ses yeux brillaient. Personne encore ne lui avait offert de cadeau. - Mais; Pourquoi vous... - Non, sa me fais plaisir, vous savez...Comme vous me logez, enfin, on va faire équipe maintenant, j'espère que tout se passera bien! On pouvait apercevoir une lueur d'espoir dans les yeux du norvégien. Lily, elle était émue. Elle déchiqueta le papier cadeau. Elle reçut finallement un livre sur les routes mythiques du Monde ainsi qu'un drapeau norvégien. - Oh, c'est trop gentil, vous n'auriez pas dû...Mais, comment savez-vous que j'aime ce genre..Enfin, les voyages? - Ça se voit en vous. Vous avez l'air très curieuse. Et, le drapeau, je l'avais déjà acheté avant. -Oh... Elle sourit et ne put s'empêcher de sauter dans ses bras. Emus, ils restèrent très vite dans ce geste sensuel. Comme si un plaisir d'amour les envahissait. Quand, la sonnerie du téléphone retentit. Très vite, Elrich ota ses mains du corp frêle de la jeune femme, puis alla décrocher. Lily, elle, resta hébétée à la scène qui venait de se passer. Et, ensuite, feuilleta le livre. 20h00. L'heure du dîner. Elrich avait préparer du saumon en papillote. Il avait décrété qu'il devait participer aux tâches collectives. Il alla prévenir Lily. iL frappa. "Le repas est prêt". Personne ne répondit. Il entra dans la pièce. Personne. Surpris, inquièt. Il cria son nom dans tout l'appartement. - Ne criez pas comme sa, nous ne sommes pas seul, intervint Lily. Du balcon. - Oh, Lily... Et les voilà tous les deux, regardant les faubourgs de la capitale. - Le dîner est prêt. Il s'en alla quand... - Attendez Elle lui prit le bras. - Regardez. iLs s'adossèrent de nouveaux sur le rebord du mur épais coloré de quelques géraniums. - Regardez comme c'est joli. - Oui, c'est magnifique, j'avoue mais si vous ne voulez pas manger froid... - Elrich, vous ne m'avez toujours pas dit pourquoi vous aviez pleuré. - Oh... iL devint réticent. - Après le dîner? Ici, sourit Lily. Elle avait toujours le don d'apaiser l'atmosphère. - D'accord. Puis, ils dinèrent en débatant sur les sujets d'actualité du J.T. - Vous voulez tout savoir - Ah, non, c'est juste que plus je vous connais et je me rends compte que vous êtes très gentil et le cadeau, il ne fallait pas...De vous avoir entendu pleuré, sa me fend le coeur. Si vous avez des problèmes, vous savez, je peux peut-être vous aider. - Et, ben, c'est très gentil tout sa. Moi, aussi, c'est la même chose pour vous, si je peux vous être utile dans quoi que ce soit, vous savez. La jeune femme s'était un peu près rapproché de lui. - Alors, ses larmes? - Ah..Le scoop... - Attendez, si vous ne voulez pas me le dire, je comprends. - Non, non, rassurez-vous. Alors, pour tout vous dire, -